Article de Jenny Trutie de Vaucresson (MS EEDD parcours RSEDD 2024-25)
Le gaspillage alimentaire, un enjeu mondial
Dans un monde où environ 733,4 millions de personnes souffrent de la faim en 2023 [1], près d’un tiers de la nourriture produite chaque année est jetée. La grande distribution se retrouve ainsi confrontée à un défi majeur : nourrir sans gaspiller. En France, ce gaspillage alimentaire atteint 8,8 millions de tonnes par an. [2]. Le gaspillage alimentaire est défini par la loi AGEC de 2020 comme « toute nourriture destinée à la consommation humaine qui est perdue, jetée ou dégradée » [1]
![Figure 1 : Répartition de l’origine des déchets alimentaires. Source : ADEME [2]](https://blog-isige.minesparis.psl.eu/wp-content/uploads/2025/04/Image2-1.png)
Mais quels en sont les impacts sur l’environnement, l’économie et la société ?
L’empreinte carbone du secteur de la distribution en France est évaluée à 1.54 millions de tonnes de CO2 par an, soit l’équivalent de 882 353 Paris-New York pour une seule personne [19]. À cela s’ajoute la perte de ressources (eau, énergie, pesticides et produits chimiques, déforestation d’habitats) utilisées pour produire ces aliments, ainsi qu’un impact financier estimé à 1,15 million d’euros par an. Enfin, ce gaspillage soulève des questions éthiques : comment justifier ce mode de gestion des ressources dans un monde où de nombreuses inégalités alimentaires persistent ? [3].
Mais pourquoi tant de gaspillage ? Décryptage.
Bien que la grande distribution progresse dans la lutte contre le gaspillage alimentaire, de nombreux freins demeurent pour ancrer durablement ces bonnes pratiques. Ceux-ci peuvent résulter de divers facteurs tout au long de la chaîne d’approvisionnement et commerciale [2] :
- Les surstocks pour éviter les ruptures : la demande étant difficile à anticiper, les distributeurs tendent à s’approvisionner sur des prévisions par rapport à la moyenne haute pour éviter les ruptures, ce qui génère des excédents inutiles ;
- Une mauvaise gestion des stocks et un non-respect des rotations (FIFO – First In First Out), peuvent conduire à des produits périmés avant leur vente ;
- Erreurs de commandes et de livraison : les erreurs logistiques, comme des pr ou des retards de livraison, génèrent du gaspillage ;
- Produits endommagés : les aliments abîmés durant le transport ou la manipulation deviennent invendables ;
- Saisonnalité des produits : certains produits, comme les chocolats de Pâques ou le foie gras de Noël, sont souvent détruits après la saison en raison de leur durée de vie limitée ;
- Durée de vie limitée : les produits périssables sont souvent jetés une fois leur date limite dépassée, malgré leur qualité initiale ;
- Innovations de produits : l’introduction de nouvelles références qui ne correspondent pas à la demande entraîne des invendus.

Le rôle central des consommateurs
Les habitudes d’achat et la perception des produits jouent également un rôle déterminant :
- Sensibilisation insuffisante : une méconnaissance de la part des consommateurs des dates limites de Consommation (D.L.C), souvent confondues avec les dates de durabilité minimale (DDM),
- Normes esthétiques : les fruits et légumes présentant des imperfections mais consommables, se trouvent souvent écartés par les consommateurs en raison des standards imposés par la publicité et nos habitudes culturelles.
- Comportements d’achat la méfiance à l’égard des produits étiquetés ou proches de leur date de péremption, ainsi que l’attractivité des promotions, peuvent encourager des achats excessifs.
- Engagement limité pour le don ou le recyclage : les pratiques telles que le compostage ou le tri des déchets restent peu répandues, traduisant un manque d’adhésion et de compréhension des consommateurs aux gestes écoresponsables liés à la gestion des déchets alimentaires.
Contraintes réglementaires et technologiques
Le don alimentaire, malgré son potentiel considérable pour réduire le gaspillage, est soumis à des normes sanitaires rigoureuses. Il faut savoir que certains produits (viande hachée, coquillages, pâtisseries à base de crème), ne peuvent être redistribués en raison de risques sanitaires. Le renforcement des normes d’hygiène, de traçabilité et de maintien de la chaîne du froid sont certes indispensables mais complique la logistique des distributeurs et peut freiner les efforts pour réduire le gaspillage alimentaire.
L’intégration de solutions comme l’intelligence artificielle pour optimiser la redistribution ou l’emballage sous atmosphère modifiée, représente un investissement important, ce qui peut freiner leur mise en place, notamment pour les enseignes à ressources limitées.
Défis organisationnels au sein des enseignes
En interne, les enseignes font face à des défis organisationnels. Le personnel n’est pas toujours formé pour identifier les produits encore consommables ou pour optimiser la rotation des stocks. La logistique des dons en coordination avec les associations (collecte, tri, distribution) demande une organisation rigoureuse, difficile à instaurer uniformément dans toutes les enseignes.
Les labels : contraintes ou opportunités pour les dons ? [6]
Les labels, tels que le label « Anti Gaspillage alimentaire pour une Économie Circulaire » visent à garantir qualité et traçabilité, qui valorise les enseignes engagées et informe les consommateurs sur leurs actions responsables. Cette démarche de labellisation vise à structurer l’engagement contre le gaspillage, avec une gestion rigoureuse à chaque étape : de l’achat des matières premières à la mise en vente, en passant par l’apposition de remises sur les produits proches de leur date limite, les dons aux associations puis aux éleveurs. Et seulement en dernier recours, les invendus sont envoyés en filière de méthanisation.
Cependant, l’engagement des magasins dans une démarche anti gaspillage, donne la possibilité d’orienter davantage de produits vers les ventes (produits proches de leur date limite) que vers les dons et pourrait conduire à une diminution des débouchés de dons.
Face à cette situation, plusieurs solutions méritent d’être explorées pour compenser cette perte pour les associations. Par exemple, augmenter le nombre de journées annuelles dédiées aux collectes alimentaires ou envisager de reverser une portion du chiffre d’affaires généré par les achats clients au profit des associations, sont des pistes qui permettraient de maintenir, voire de renforcer, la contribution des grandes surfaces à la collecte alimentaire, tout en respectant les exigences demandées par les labels.
LES LEVIERS D’ACTION ET D’INNOVATION
Une réglementation qui se renforce et encourage à agir
Depuis plus d’une décennie, la France a mis en place plusieurs lois pour lutter contre le gaspillage alimentaire. L’objectif ? Adapter la législation permet d’offrir davantage de flexibilité aux distributeurs tout en garantissant la sécurité alimentaire.
Tout commence en 2012 avec le Pacte National contre le Gaspillage Alimentaire, qui amorce un véritable tournant. En 2016, la loi Garrot fait de la France le premier pays au monde à interdire aux supermarchés de jeter ou rendre impropres à la consommation des denrées encore consommables, s’exposant à une amende pouvant atteindre 10 000 euros.
Promulguée le 10 février 2020 (Loi n° 2020-105), la loi AGEC (Anti-Gaspillage pour une Économie Circulaire [7]) vise à transformer nos modèles de production et de consommation pour limiter les déchets et préserver les ressources naturelles. Son ambition pour le secteur alimentaire : réduire de 50 % le gaspillage alimentaire d’ici 2025 dans la distribution alimentaire et la restauration collective, et d’ici 2030 dans les autres secteurs tels que la production, l’industrie, la restauration commerciale…
En janvier 2025, une nouvelle proposition de loi [8] a été déposée au Sénat, l’objectif étant d’élargir l’obligation de dons à un plus grand nombre d’entreprises et de renforcer les contrôles, avec la remise chaque année d’un document récapitulatif annuel des dons, que chaque acteur concerné devra transmettre à la DDPP (Direction Départementale de Protection de Populations).
Avec ces mesures de plus en plus ambitieuses, la France s’affirme comme un leader mondial de la lutte contre le gaspillage alimentaire.
L’IA au service d’une distribution responsable
Face à l’ampleur du gaspillage alimentaire, le secteur de la distribution se réinvente grâce à l’innovation technologique. Une étude du Pacific Coast Food Waste Commitment (PCFWC) révèle par exemple que l’IA dans cette région, évitant ainsi 13,3 millions de tonnes de CO2 et générant plus de 2 milliards de dollars [9]. Entre 2019 et 2022, les chaînes participantes ont réduit de 25 % leurs invendus.
La start-up française SmartWay aide les détaillants à repérer les produits proches de leur date limite, et à arbitrer entre remises ou dons aux associations. Parallèlement, les plateformes telles que Phenix et Too Good To Go redistribuent ces invendus à prix attractifs, réduisant ainsi les pertes tout en offrant une solution économique et durable aussi bien aux distributeurs qu’aux consommateurs.
Les logiciels de gestion des stocks et prévisions de vente, alimentés par l’IA, ajustent les commandes en fonction de la demande réelle et de la saisonnalité. Les responsables de rayon reçoivent quotidiennement des propositions de commandes adaptées aux prévisions de vente. Ces recommandations précisent les quantités exactes d’articles à commander, afin de ne produire que ce qui sera effectivement vendu à la fin de la journée. L’automatisation des processus optimise les stocks, ce qui libère du temps pour les employés et améliore l’efficacité opérationnelle.
Ces innovations qui prolongent la durée de vie des produits
Grâce aux innovations récentes, les durées de vie des produits frais peuvent désormais être allongées sans compromettre leur qualité. Cela permet de réduire considérablement le gaspillage alimentaire tout en générant des économies pour les consommateurs et une meilleure disponibilité des dons. Ces avancées concernent aussi bien la conception des produits que les méthodes de conservation.
L’une des solutions les plus prometteuses est l’utilisation d’emballages sous atmosphère modifiée (MAP) [10]. En remplaçant l’air par un mélange gazeux (azote, dioxyde de carbone), cette technologie ralentit la prolifération des microorganismes et retarde la détérioration des aliments, ce qui prolonge leur durée de conservation.
En France, des initiatives gouvernementales soutiennent ces innovations, qui se révèlent efficaces pour lutter contre le gaspillage alimentaire.
Certaines enseignes de grande distribution ont déjà intégré ces solutions et constaté une réduction significative de leurs déchets alimentaires. Résultat ? Cependant, ces améliorations ne se font-elles pas au détriment de la qualité des produits ou de l’impact environnemental global des nouvelles technologies ? Le bilan final est-il réellement aussi positif qu’il y paraît ? Il reste essentiel de vérifier si les gains obtenus compensent effectivement les investissements et les éventuels effets secondaires sur le long terme.
Réinventer notre rapport à l’abondance
Dans un monde où l’abondance est souvent utilisée comme un argument commercial, comment repenser nos modèles de consommation et de distribution pour lutter efficacement contre le gaspillage alimentaire ? Ce défi nécessite une transformation profonde, tant dans les pratiques commerciales que dans les comportements individuels, et pour y parvenir, plusieurs pistes sont envisagées :
- Réduire les surplus en rayons pour limiter les invendus.
- Encourager les circuits courts pour réduire la durée de stockage et améliorer la fraîcheur des produits.
- bien qu’efficaces pour écouler des stocks, peuvent également encourager des comportements de surconsommation.
Ce virage vers une consommation raisonnée est non seulement possible, mais essentielle pour préserver nos ressources naturelles et réduire les impacts environnementaux.
Valorisation des invendus et partenariats
Si certaines enseignes transforment leurs invendus en produits de seconde vie (soupes, confitures, croûtons ou croissants aux amandes), ces initiatives demeurent encore marginales à l’échelle du secteur. Les partenariats avec des associations, requièrent des ressources humaines et financières pour gérer la collecte, le tri et la distribution des produits.
Pour y être reproposées à la consommation : en 2023, la start-up a ainsi permis de sauver l’équivalent de 75 millions de repas et d’éviter 200 000 tonnes de CO2, sur l’ensemble de l’année [12].
Moins de dons, quel est le rôle des distributeurs pour optimiser la lutte ?
A ce jour, 10% des approvisionnements des associations proviennent de la grande distribution [17]. Dans un monde confronté à des défis humanitaires croissants, repenser la logistique des dons alimentaires s’impose pour améliorer leur qualité et leur efficacité. La majorité des dons provient des invendus, limitant parfois la diversité et la fraîcheur des produits remis aux associations. Une meilleure gestion permettrait non seulement de réduire le gaspillage alimentaire, mais aussi d’assurer une redistribution de produits plus diversifiés et de meilleure qualité. Pour surmonter ces défis, plusieurs leviers stratégiques peuvent être mis en place :
- Adopter une démarche proactive en identifiant et orientant les produits avant bien avant de devenir invendables [13],
- Comme les campagnes en caisse invitant les clients à acheter des produits spécifiques destinés aux banques alimentaires, permet à la fois de diversifier les dons et de renforcer l’engagement communautaire. Grâce à son ancrage local, le distributeur dispose d’une position favorable pour initier ce type d’actions solidaires. Ces initiatives peuvent valoriser son image tout en consolidant ses liens avec le territoire, à condition qu’elles soient perçues comme sincères, transparentes et respectueuses des attentes des clients.
- Augmenter les contrôles qualité pour s’assurer de la fraîcheur et la sécurité des produits donnés, ainsi que les échanges entre magasins et associations afin de favoriser les remontées des besoins.

Vers une consommation responsable en renforçant la solidarité
En France, chaque habitant gaspille en moyenne 130 kg de nourriture par an. Ce chiffre prend en compte les pertes à toutes les étapes de la chaîne alimentaire : production, transformation, distribution et consommation [2]. La lutte contre ce gaspillage peut être menée sur plusieurs fronts, en agissant à la fois au niveau des distributeurs et des consommateurs.
Côté distributeurs, des stratégies internes existent pour limiter le gaspillage tout en renforçant leur impact social. Parmi eux, on peut trouver les remises en fin de journée, les dons aux employés, ou la transformation des invendus, les partenariats avec les associations locales pour diversifier les types de dons et redistribuer les invendus. Ces actions réduisent la quantité de nourriture jetée, tout en soutenant des circuits solidaires.
En 2023, la Banque Alimentaire a distribué 6 240 tonnes de denrées, dont 1 399 tonnes issues de collectes, permettant de soutenir 316 000 personnes [17]. Ces chiffres illustrent l’impact significatif des dons structurés entre les supermarchés et les associations caritatives et l’importance de continuer à intensifier les efforts pour réduire les pertes à chaque étape de la chaîne alimentaire.
Enfin, une meilleure sensibilisation à une consommation responsable (par exemple à travers des campagnes d’éducation sur les achats raisonnés ou les principes de rotation des produits comme le FIFO (First In First Out), peuvent avoir un impact direct.
L’urgence d’un changement collectif
Réduire le gaspillage alimentaire est une nécessité sans compromis, tant pour des raisons environnementales qu’éthiques et économiques. Si la grande distribution joue un rôle et adapte ses pratiques, elle ne pourra pas réussir seule. Pour construire un système alimentaire plus juste et plus responsable, chaque acteur,
La réussite de cette lutte repose sur une mobilisation collective. Les entreprises doivent adapter leurs pratiques de distribution, les décideurs politiques simplifier les réglementations et nous, consommateurs adopter des comportements plus responsables. Seule une action concertée permettra de transformer ces défis en opportunités pour un modèle plus durable pour tous.
Comment nous en tant que consommateurs pouvons-nous faire la différence et jouer notre rôle en collaboration avec la distribution ? Des gestes simples peuvent amorcer ce changement : accepter les fruits et légumes imparfaits, éviter de manipuler des produits fragiles sur des étals, remettre un produit abandonné à sa place en rayon, acheter des paniers “anti-gaspi” ou des produits à date plus courte à prix réduit, bref, être attentifs à notre propre consommation et soutenir les initiatives anti-gaspillage. Chaque geste compte, et multiplié par des millions de personnes, peut avoir un véritable impact.
Peut-on rêver d’un monde sans gaspillage ? Si l’élimination totale reste probablement utopique, l’innovation, l’éducation et des régulations renforcées peuvent nous rapprocher d’un modèle alimentaire plus responsable et durable. L’heure n’est plus à l’attente, mais à l’action. À nous d’en faire un combat !
Sources
[1] Nations Unies, Rapport sur l’état de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le monde [en ligne], consulté le 9 mars 2025, disponible sur : https://www.fao.org/3/ca9692fr/ca9692fr.pdf.
[2] ADEME, Une alimentation plus durable est-elle possible ? [en ligne], consulté le 9 mars 2025, disponible sur : https://serd.ademe.fr/a-propos/serd-2024-une-alimentation-plus-durable-est-elle-possible/#:~:text=25%20kg%20de%20nourriture%20%3A%20c,ann%C3%A9e%20par%20ha.
[3] LEGIFRANCE, Code de l’environnement, Sous-section 1 bis : Lutte pour le réemploi et contre le gaspillage, Article L541-15-4 [en ligne], consulté le 20 février 2025, disponible sur : https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000006074220/LEGISCTA000032043245/.
[4] Le Monde, La lutte contre la faim dans le monde ne progresse pas : un aveu d’échec terrible [en ligne], publié le 24 juillet 2024 à 14h00, modifié le 25 juillet 2024 à 06h36, disponible sur : https://www.lemonde.fr/planete/article/2024/07/24/la-lutte-contre-la-faim-dans-le-monde-ne-progresse-pas-un-aveu-d-echec-terrible_6257216_3244.html, consulté le 20 décembre 2024.
[5] FAO, FIES – Voices of the Hungry [en ligne], consulté le 9 mars 2025, disponible sur : https://www.fao.org/in-action/voices-of-the-hungry/fies/fr/
[6] FAO (Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture), Food Loss and Food Waste [en ligne], consulté le 9 mars 2025, disponible sur : http://www.fao.org/food-loss-and-food-waste/en/
[7] Ministère de la Transition Écologique et Solidaire, Label national anti-gaspillage alimentaire [en ligne], consulté le 23 février 2025, disponible sur : https://www.ecologie.gouv.fr/politiques-publiques/label-national-anti-gaspillage-alimentaire.
[8] Loi AGEC, Légifrance [en ligne], consulté le 2 janvier 2025, disponible sur : https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000032036289/.
[9] Pacific Coast Food Waste Commitment (PCFWC), Using Artificial Intelligence to Reduce Food Waste in Grocery Retail, 2022 [en ligne], consulté le 23 février 2025, disponible sur : https://pacificcoastcollaborative.org/wp-content/uploads/2022/12/PCFWC-Case-Study_AI_Final.pdf.
[10] 22-med, L’intelligence artificielle peut-elle réduire le gaspillage alimentaire ? [en ligne], consulté le 1er janvier 2025, disponible sur : https://www.22-med.com/oui-lintelligence-artificielle-peut-reduire-le-gaspillage-alimentaire/.
[11] Bourgade, H. et al., Les innovations technologiques, leviers de réduction du gaspillage dans le secteur agroalimentaire : enjeux pour les consommateurs et pour les entreprises, EUROQUALITY, 2014 [en ligne], consulté le 23 février 2025, disponible sur : https://agriculture.gouv.fr/sites/default/files/documents/pdf/Rapport_final_ETUDE_Innovations_technologiques_et_reduction_du_gaspillage_agroalimentaire_cle879858.pdf.
[12] Phenix. Le gaspillage alimentaire et non alimentaire : Agissons ! [en ligne], consulté le 21 mars 2025, disponible sur : https://www.wearephenix.com/gaspillage/
[13] Le Conseil National Zéro Déchet, Moins de pertes et de gaspillage alimentaires, moins de déchets d’emballage, 2020 [en ligne], consulté le 23 février 2025, disponible sur : https://nzwc.ca/Documents/FLWpackagingReport-FR.pdf.
[14] ANIA, Guide de l’ANIA du don alimentaire, février 2022 [en ligne], consulté le 23 février 2025, disponible sur : https://www.ania.net/wp-content/uploads/2022/03/Guide-Don-Alimentaire.pdf.
[15] Restos du Cœur, Faire un don en nature [en ligne], consulté le 8 mars 2025, disponible sur : https://www.restosducoeur.org/faire-un-don-en-nature/.
[16] Rolland, C., Conférence séminaire technique du 27 septembre 2024 à Nantes : Réduction du gaspillage alimentaire – Quelle coopération entre les entreprises alimentaires et les associations & acteurs antigaspi ?
[17] Banques Alimentaires (2023). Rapport annuel 2023 des Banques Alimentaires. Fédération Française des Banques Alimentaires. [en ligne], consulté le 21 mars 2025, disponible sur : https://www.banquealimentaire.org/sites/default/files/2024-07/BANQUES_ALIMENTAIRE_RA_2023_41_CS_compressed_1.pdf
[18] Univers professionnel
[19] www.impactco2.fr