Article de Julien Rufin (MS EEDD parcours RSEDD 2023-24)
Introduction
« Les conséquences des activités minières menées pour le compte de la transition énergétique pourraient dépasser les impacts des effets qu’on a souhaité éviter avec la mise en place des dits dispositifs ».
Lors d’une interview pour Thinkerview en février 2023, la géologue minière Aurore Stéphan cite une étude de Zunter et al. (2020). Les conclusions sont au conditionnel, l’étude n’a pas fait de comparaison entre impacts miniers et impacts environnementaux mais elle met en avant les risques possibles d’une transition énergétique mal maitrisée.
Le « Deep Sea Mining », l’extraction minière dans les fonds marins, est l’une de ces activités minières à fort risque environnemental. Si bien qu’avant même le démarrage du premier projet d’exploitation, l’avenir de cette industrie est déjà plus qu’incertain.
Quand activistes, scientifiques, grandes entreprises mondiales et un nombre croissant d’États se mobilisent contre cette activité, on a toutes les raisons d’être optimistes. Parce que quand même, il n’y a pas grand-chose qui va dans cette affaire.
Explications.
Pour commencer, c’est quoi les fonds marins ?
Les océans couvrent 70% de la surface totale du globe. Jusqu’à 200 milles marins des côtes (soit environ 370 kilomètres), on se trouve dans la zone économique exclusive (ZEE). Dans cette ZEE, l’état riverain côtier peut exploiter et utiliser les ressources de l’eau, du fond de la mer et du sous- sol comme bon lui semble.
Au-delà des 200 milles marins, nous entrons dans la haute mer, les eaux internationales. Ces eaux internationales n’appartiennent à personne et sont de la responsabilité de tous. Par définition, ce qu’on appelle les grands fonds marins, ce sont ces endroits de la haute mer où la profondeur dépasse 200 mètres. Ils représentent au total environ les deux tiers de la surface de notre planète.
La première expédition océanographique de 1870 a permis de découvrir la Fosse des Mariannes, zone océanique la plus profonde située à 11000 mètres de profondeur. Cette expédition a permis également de découvrir qu’il y a des métaux dans l’océan et surtout que la vie et la biodiversité marines y sont exceptionnelles.
On estime toutefois aujourd’hui que seulement 5% des océans profonds ont été explorés : on a mieux cartographié la surface de la Lune que le fond des océans ; on a envoyé plus de monde sur la Lune que dans la fosse des Mariannes.
Pourquoi certains pays et certains industriels souhaitent-ils exploiter les fonds marins ?
D’après des estimations effectuées par le BP Statistical Review of World Energy en 2020, les énergies fossiles deviennent, à l’échelle de la planète, de plus en plus rares. Elles étaient estimées en 2020 à 1 014 milliards de tonnes “équivalent pétrole”.
Ainsi :
- Les réserves de pétrole sont estimées à 244,4 milliards de tonnes, soit environ 53 ans si l’utilisation que nous en avons se poursuit telle qu’actuellement ;
- Les gisements de gaz naturel sont estimés à 188 100 milliards de mètres cubes, soit encore 4G ans d’utilisation de cette ressource ;
Il reste environ 1074 milliards de tonnes de charbon en réserve, soit 13G années avant épuisement total des ressources.
Non seulement les ressources fossiles ne sont pas inépuisables, mais elles sont aussi fortement néfastes pour l’environnement. Dans son rapport « Changement climatique 2022 : atténuation du changement climatique », le GIEC affirme que si les émissions de gaz à effet de serre n’arrêtent pas d’augmenter d’ici 2025, et ne sont pas divisées par deux d’ici 2030, le monde connaîtra probablement des effets climatiques extrêmes. Si elles continuent à augmenter à leur rythme actuel, les émissions de gaz à effet de serre risquent de provoquer un réchauffement supérieur à 3°C d’ici 2100.
Les métaux, ressources minérales naturelles non renouvelables, constituent une matière première stratégique pour répondre aux enjeux de la transition énergétique (fabrication de batteries électriques notamment). Sauf que…l’Union Européenne a déjà identifié 30 matières premières critiques, présentant un risque élevé de pénurie d’approvisionnement.
Face à des besoins grandissants et à une inégale disponibilité sur Terre (le site de Bayan Obo en Chine concentre 60% des réserves mondiales connues de terres rares – source Ademe), des entreprises et des pays se tournent donc vers les fonds marins pour aller y extraire les métaux dont nous aurions besoin pour assurer la transition énergétique
Du métal, du métal et encore du métal
Trois types de reliefs et de minéraux intéressent les entreprises de l’industrie minière dans ces fonds marins :
- En premier, les plaines abyssales situées entre 2000 et 6000 mètres de profondeur. Elles sont faciles d’accès car c’est « tout plat ». On y trouve des nodules polymétalliques, concrétions de métaux (hydroxydes de fer et de manganèse). Pour information, il faut quand même 1 million d’années pour que se crée une concrétion d’une dizaine à une centaine de millimètres.
- Dans les monts sous-marins ensuite. On y trouve des encroutements cobaltifères. L’accès à ces nodules reste très complexe pour l’instant, et leur exploitation coûteuse du fait des profondeurs
- Les évents hydrothermaux enfin, énormes cheminées qui expulsent la chaleur interne de la Terre. On y trouve des sulfures polymétalliques (or, argent, cuivre, nickel).
Cobalt, cuivre, manganèse ou nickel sont les métaux prioritaires recherchés dans cette exploitation. Et donc pas uniquement des métaux ou terres rares.
Qui est en charge de l’encadrement de ces projets d’exploitation minière ?
En 1970, l’ONU adopte la Déclaration des principes régissant le fond des mers et des océans, ainsi que leur sous-sol, au-delà des limites de la juridiction nationale. L’ONU déclare également que les ressources minérales des fonds marins sont « le patrimoine commun de l’humanité » ; elles doivent être développées dans l’intérêt de l’humanité dans le cadre d’un mécanisme international devant être mis en place à cette fin.
Ce mécanisme se concrétise… 24 ans plus tard sous la forme de l’AIFM, Autorité Internationale des Fonds Marins. La chute des cours des métaux, associée à un accès relativement facile aux minéraux dans le monde en développement a en effet provoqué pendant près de 20 ans une perte d’intérêt pour les activités d’exploitation minière des fonds marins. Installée à Kingston en Jamaïque, l’AIFM rassemble 167 États membres plus l’Union Européenne. La France et 36 autres États font partie du Conseil (organe exécutif qui édite le code minier).
Les compétences principales de l’AIFM sont de réglementer l’exploration et l’exploitation minière dans les fonds marins et de s’assurer que l’environnement marin est protégé contre tout effet nocif qui surviendrait pendant les activités d’exploration et d’exploitation minières. L’Autorité a également la responsabilité de promouvoir et d’encourager la recherche scientifique marine et de diffuser les résultats de ces recherches.
Ces notions d’exploration et d’exploitation sont fondamentales. Car si l’exploitation n’est pas encore autorisée, une trentaine de contrats d’exploration ont été délivrés à des pays, entreprises privées ou centres de recherche publics. La moitié de ces contrats d’exploration concerne la zone de Clarion Clipperton située entre le Mexique et Hawaii (et grande comme 3 fois l’Inde) qui regorge de nodules polymétalliques.
Sur les zones qui ont été attribuées à la France, l’État a mandaté l’Ifremer pour mener ces études d’exploration. L’Ifremer est ainsi chargé de mieux connaître ce potentiel minier mais aussi la biodiversité qui pourrait être affectée par l’activité humaine sur les fonds océaniques.
Aujourd’hui, la position de l’Ifremer est assez claire : une exploitation minière au fond des océans impacterait un milieu encore méconnu et pourrait ainsi affecter de potentielles découvertes. Il est actuellement nécessaire d’avancer dans la compréhension du fonctionnement de ces écosystèmes pour pouvoir ensuite évaluer les impacts directs et indirects d’une exploitation potentielle.
Y-a-t-il quelque chose qui va bien dans cette histoire de Deep Sea Mining ?
L’extrême prudence de l’Ifremer illustre tout ce qui ne va pas en matière d’exploitation des fonds marins. Non seulement en matière de gouvernance mais aussi sur les plans environnemental et économique.
Sur le plan écologique et environnemental tout d’abord, c’est la catastrophe annoncée. L’océan est en effet notre plus grand allié dans la lutte contre la crise climatique. C’est un puits de carbone fantastique ; il séquestre 30% des émissions de CO2 humaines.
Et parce que l’océan profond est un espace sans lumière, froid, avec une forte pression, on s’imagine à tort que c’est un espace vide de vie. Or, la biodiversité y est unique et peu résiliente. Poulpes bioluminescents, baudroie abyssale, pieuvre dumbo… À chaque nouvelle expédition on découvre de nouvelles espèces et de nouvelles interactions entre ces espèces : 70 à 90% des espèces récoltées sont nouvelles. La plupart sont endémiques.
Imaginez alors les effets d’énormes moissonneuses-batteuses reliées à la surface qui raclent les plaines abyssales : la structure géologique est détruite, et l’écosystème associé également.
Dans son analyse « Une évaluation des risques et des impacts de l’exploitation minière des fonds marins sur les écosystèmes marins », publiée en 2020 et actualisée en 2023, Fauna C Flora démontre que l’exploitation minière des grands fonds marins entraînera inévitablement la perte de la biodiversité des grands fonds et qu’une fois perdue, la biodiversité sera impossible à restaurer.
La mise en suspension du sédiment et des particules modifierait la composition chimique de l’eau. En se redéposant, ils transformeraient également le sol océanique autour de la zone exploitée. Les rejets de déchets risqueraient également d’impacter l’eau en surface. Sans parler de la pollution chimique, sonore et lumineuse lors de l’extraction.
Le Deep Sea Mining est une potentielle bombe climatique : dans ce même rapport, Fauna C Flora présente également des preuves irréfutables que l’exploitation minière des grands fonds marins, en perturbant les réserves de carbone des sédiments marins et en perturbant les processus de cycle et de stockage du carbone, pourrait contribuer à la crise climatique. Parce qu’il y a encore insuffisamment de connaissance scientifique sur le sujet, le nécessaire principe de précaution s’impose.
Sur le plan de la gouvernance
« On demande au loup de surveiller la bergerie : c’est avec ces mots qu’en 2019, le chef scientifique de l’AIFM a claqué la porte.
L’AIFM est en effet chargée d’un double mandat contradictoire : elle doit d’un côté encadrer l’industrie minière et de l’autre protéger les fonds marins pour le bien commun de l’humanité.
Difficile pour ne pas dire impossible de concilier ces deux objectifs puisque comme les scientifiques l’ont démontré (cf ci-après), l’exploitation des fonds marins résulte de facto en la destruction des écosystèmes et la perturbation de la fonction de puits de carbone de l’océan,
Sur le plan économique enfin
Les industries de l’exploitation minière des fonds marins alimentent un fantasme : les fonds marins regorgent de métaux, cela va donc permettre de répondre à nos problématiques de transition écologique. OK, sauf que dans les faits, la teneur en matière de ces nodules est très faible. D’après Aurore Stéphan (Thinkerwiew – février 2023 ), elle serait équivalente voire moindre à celles des gisements terrestres. Il faudrait donc miner des surfaces gigantesques.
Par ailleurs, on ne sait pas encore traiter ces métaux : le flou est total sur la manière de passer de l’état de nodule à l’état de métaux utilisables pour la fabrication de batteries.
Activistes, scientifiques, entreprises, États… : les oppositions grandissent
Les dernières négociations qui se sont tenues au sein de l’AIFM en juillet 2023 (Conseil du 10 au 21 puis Assemblée du 24 au 28) se sont achevées en Jamaïque sans que les industries minières aient obtenu un feu vert immédiat pour commencer à labourer le fond des océans.
The Metal Company (TMC), première entreprise du secteur de l’exploitation minière, avait pourtant activé la règle dite « des deux ans » contraignant l’AIFM à fournir un code minier d’ici juillet 2023, ouvrant la voie au démarrage de l’exploitation.
Mais les oppositions grandissent, et elles viennent de toute part.
Les scientifiques ont été les premiers à alerter : à l’image de l’Ifremer, les scientifiques rappellent que nous n’avons pas assez de données scientifiques pour avoir un état 0 de l’écosystème des fonds marins.
Il est impossible d’effectuer une étude d’impact en raison de ce manque de connaissances, il faut donc investir en priorité dans la recherche pour étudier les espèces, leurs interactions et les mécanismes de puits de carbone.
Les activistes et lanceurs d’alerte se mobilisent également de manière exceptionnelle. En France, Camille Etienne et Anne-Sophie Roux sont les figures emblématiques de la lutte. Très présentes sur les réseaux sociaux (via leur mouvement « Look Down »), elles vulgarisent le travail des scientifiques pour informer les citoyens. Elles interpellent les gouvernements, font signer des pétitions. Elles participent également de façon active aux grands évènements internationaux, y compris à l’assemblée de l’AIFM.
Dernière action marquante : le lancement en janvier 2024 d’une résolution au Parlement Européen visant à condamner la décision de la Norvège de lancer ses premiers projets d’exploitation minière dans ses eaux. Malgré les efforts de lobbyistes du gouvernement norvégien, la résolution a été adoptée à une impressionnante majorité (523 voix pour, de gauche à droite). Le projet norvégien est en stand-by.
Si la bataille est loin d’être gagnée, les signaux positifs sont nombreux. Notamment en France et il faut le souligner. Alors qu’en 2021 Emmanuel Macron semblait ne pas écarter une exploitation des fonds marins, il a surpris son monde en prenant la parole en novembre 2022 lors de la COP27 en Égypte : « La France sera au rendez-vous de ses engagements. (…) C’est pourquoi la France soutient l’interdiction de toute exploitation des grands fonds marins. J’assume cette position et la porterai dans les enceintes internationales ». Cette position a été confirmée par le vote de l’Assemblée Nationale en mars 2023.
Comme le montre le graphique ci-dessous réalisé par la « Deep Sea Conservation Coalition », de plus en plus d’États s’engagent à prévenir des dommages permanents à nos fonds marins. Après les îles Fidji, Palau et Samoa en juin 2022, une vingtaine d’États réclament désormais un moratoire ou une pause de précaution, voire ont clairement exprimé leur opposition.
Et du côté des grands industriels ?
BMW, Volvo ou encore Google se sont engagés à ne pas acheter de minerais venant des fonds marins et à ne pas financer de projets d’extraction tant que les effets sur l’environnement de cette industrie n’auront pas été clairement évalués.
Chez Tesla, on travaille déjà sur des alternatives avec l’utilisation de métaux recyclés pour les batteries.
Résultat, depuis juin 2022, la plupart des grands investisseurs se désengagent les uns après les autres : la Banque Européenne d’Investissement inscrit ainsi le Deep Sea Mining sur la liste des activités exclues des financements (rapport d’admissibilité aux financements de 2022).
TMC est ainsi apparu deux fois en 5 mois sur la Delisting Notice du Nasdaq, le cours de l’action étant passé sous la barre des 1$ durant 30 jours consécutifs.
Et si plutôt que d’imaginer de nouveaux projets extractivistes, nous poursuivions nos actions pour construire un autre modèle de société : repenser nos modèles de production pour plus de sobriété, penser davantage circulaire que linéaire (en investissant dans le recyclage des métaux déjà extraits par exemple), en innovant dans la conception des batteries…
La mobilisation de tous les acteurs, scientifiques, activistes, États, entreprises et citoyens est une opportunité historique pour empêcher la destruction du vivant et de notre plus grand allié pour capter le carbone.
C’est un choix de société qui n’arrive pas tous les matins.
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Sources
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<https://www.youtube.com/watch?v=FkiMqLD3_YQ>
Thuillez Maxime et Roux Anne-Sophie (2023). #98 – Deep sea mining : miner les métaux au fond de l’océan ? Anne-Sophie Roux [vidéo en ligne]. Greenletter Club. Disponible sur :
<https://www.youtube.com/watch?v=HNPb13ukYkI>.
Chiche par MakeSens. Anne-Sophie Roux : « Aujourd’hui, on connaît mieux la surface de la lune que les fonds de l’océan » [en ligne]. Disponible sur :
<https://chiche.makesense.org/media/environnement/anne-sophie-roux-aujourdhui-on- connait-mieux-la-surface-de-la-lune-que-les-fonds-de-locean>
Roux Anne-Sophie et Seguin Raphaël (2022). Deep Sea Mining ¼ : Exploiter les fonds océaniques … pour quoi ? pour qui ? à quel prix ? [podcast]. Baleine sous gravillons. Disponible sur :
<https://open.spotify.com/episode/53smYvDab0sK9Ac4vZLqaV?si=tfqmJrJjQWOD6hEsvfT0uA>
Roux Anne-Sophie et Seguin Raphaël (2022). Deep Sea Mining ¾ : Quels impacts… sur quels oasis de vie méconnus ? [podcast]. Baleine sous gravillons. Disponible sur :
<https://open.spotify.com/episode/0jN3tshXb0LRoxVIp5rYw8?si=POJBNvtYTjuMcbdRvGdPPg>
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