Article de Célie Wahl (RSEDD 2020)

 

Comment la scène des musiques extrêmes donne de la voix pour dénoncer les injustices environnementales et sociales.

La musique metal prend racine dès la fin des années 60 grâce à Black Sabbath et s’inspire principalement du hard rock (AC/DC, Van Halen, Led Zeppelin…), de la musique classique et du blues. Elle connaît ensuite un essor dans les années 80, catalysée par le glam metal joué sur le sunset strip de Los Angeles qui voit défiler les noms maintenant mythiques tout en cheveux et paillettes de Kiss, Poison, Guns N Roses ou Mötley Crüe. Ce qui différencie le metal du hard rock, ce sont des sonorités souvent composées en mode mineur, apportant une connotation obscure et dérangeante, là où le mode majeur du rock inspire des airs joyeux et solaires. Derrière une image bien souvent stéréotypée, le metal est un genre musical très technique et diversifié que l’on pourrait comparer à un arbre et dont chaque branche représente un sous-genre différencié avec des spécificités qui lui sont propres (chant guttural par exemple).

Dès son apparition et en particulier dans les années 80, les groupes de metal abordent des thèmes plus engagés et sombres que la pop de l’époque : « War Pigs » de Black Sabbath, « …And Justice For All » de Metallica, « Civil War » de Guns N’Roses…[1] Ce sont bien souvent les mouvements à la marge, protestataires, qui osent élever la voix pour dénoncer. Le metal fait partie de ces styles musicaux de niche qui utilisent la violence et la nature extrême de leurs sonorités pour porter leurs revendications sociales, politiques ou même environnementales. Parmi les thématiques abordées, on retrouve la catharsis de nos sentiments négatifs, peurs et questionnements intérieurs, la destruction, la mort ou le chaos. Quoi de mieux donc que le metal pour dénoncer les tourments de la planète, la 6e extinction de masse, la souffrance causée et ressentie par l’Homme, la lente agonie de Mère Nature ?

Focus sur 3 groupes qui ont fait de leurs chansons un cri pour la planète.

 

Gojira, les océans et la déforestation de l’Amazonie

Gojira est un, si ce ne n’est LE, groupe de metal français connu et reconnu à l’international pour son engagement environnemental. Fondé à Ondres, dans les Landes, en 1996, Gojira revendique un message fort et percutant tout au long de son œuvre aux titres évocateurs, avec 7 albums à son actif.

Des décibels pour dénoncer

Joseph (Joe) Duplantier, chanteur-guitariste du groupe, explique cet ADN de Gojira ainsi que le lien entre écologie et musique metal lors d’une interview réalisée par Konbini en 2016 :

« On a bien le morceau « Global Warming » sur From Mars to Sirius (2006) avec lequel ça a commencé. Dans ce titre, je dis qu’on est connectés à toute chose, planète Terre comprise. Alors c’est pas uniquement écologique, mais également existentiel – voire spirituel. La tonalité des paroles, le message, c’est plutôt l’importance de notre impact sur les autres, sur le monde, et même sur l’univers tout entier. […] Pour le lien avec le metal, c’est très simple : ça peut provoquer de la colère, de la frustration et je trouve que dire « il ne faut pas polluer, il faut respecter l’environnement », dans un monde extrêmement pollué où les gens ont de moins en moins de respect, ça se dit en gueulant ! Finalement ça se marie bien, le metal et l’écologie. » [2]

Leur nouvel album Fortitude, sorti en avril 2021, ne déroge pas à la règle. Gojira sort tout d’abord un premier single intitulé « Another World », accompagné d’un clip d’animation mettant en scène la quête d’une nouvelle planète, la Terre étant devenue inhabitable suite à diverses catastrophes climatiques et sanitaires. La vidéo s’achève sur une scène post-apocalyptique inspirée de La Planète des Singes [5] où la nature a repris ses droits. Leur second clip, « Born For One Thing », suit une course poursuite dans un musée de sciences naturelles montrant des espèces animales en voie de disparition. Un troisième single, « Amazonia », s’ouvre sur des sonorités et rites tribaux. Les images montrent l’Amazonie en proie aux flammes, des scènes de désolation après que le brasier a tout emporté. Le feu servant à rassembler les tribus et contribuant à la richesse des cultures indigènes est supplanté par le brasier environnant causant leur perte.

 

 

“There’s fire in the sky
You’re in the Amazon
The greatest miracle
Is burning to the ground
Burn the land
Learn the end”

 

Des actions concrètes pour collecter des fonds

Gojira, qui promeut l’interconnexion de tout ce qui est sur Terre, n’en reste pas à la dénonciation, mais ponctue ses cris d’alerte par des actions concrètes pour lever des fonds destinés à différentes associations de protection de l’environnement. Une page de leur site internet est également dédiée à leurs initiatives.[3]

« Toxic Garbage Island » (2008), dénonçant la pollution plastique des océans, est ensuite suivie par quatre titres enregistrés dont les bénéfices sont reversés en soutien à l’association Sea Shepherd pour la défense des milieux marins et de la biosphère associée en 2010 [4].

Les bénéfices générés par la chanson « Amazonia » sont reversés à l’ONG The Articulation of Indigenous Peoples of Brazil (APIB) œuvrant pour défendre les droits des tribus indigènes d’Amazonie, victimes de déforestation.

Enfin, une collecte de fonds est également organisée depuis la plateforme https://propeller.la/gojira avec notamment une mise aux enchères d’une guitare de Joe, décorée par ses soins, ou d’une basse, également gravée, de Robert Trujillo (Metallica)[6]. La cagnotte a d’ores et déjà atteint 312938 dollars en juillet 2021. Une belle manière d’appeler les fans à s’unir pour une noble cause.

 

Fit For An Autopsy fait entendre la voix des Sioux du Dakota

Fit For An Autopsy est un groupe américain originaire du New Jersey fondé en 2008 et fort de 5 albums aux titres explicites tels que The Process of Human Extermination, The Great Collapse ou encore The Sea of Tragic Beasts.

Des clips protestataires aux visuels engagés

Sur ce dernier album sorti en 2019 figure le single « Shepherd », qui a été mis en images. On peut y voir leur chanteur, Joe Badolato, enfermé dans une enclave et peu à peu enseveli sous des déchets plastiques et divers apportés par des figurants. Le clip se termine sur une image du chanteur à l’agonie, encerclé par ces derniers qui le filment avec leurs smartphones.

 

“A future stained in the blood of our children
Nations of thieves selling our souls for gold
Man is the cancer. We call for death and it answers”

 

Plus tôt, Fit For An Autopsy a utilisé sa voix et son exposition pour dénoncer le projet d’oléoduc Dakota Access Pipeline (DAPL) lancé en 2014 via le titre Black Mammoth, qui montre les enjeux désastreux de la politique environnementale afférente et les protestations qui ont suivi. Le clip vidéo sorti en 2017 retrace l’historique de ce projet et illustre la catastrophe environnementale et éthique qui en découle. Le groupe utilise également ce clip pour appeler aux dons et à suivre l’évolution du projet :

 

 

“The tribe collapses
The mother weeps in her dying breath
Rise from the ashes, oh foul Black Mammoth
Dead in spirit, now dead in flesh”

 

Le Dakota Access Pipeline (DAPL) est un projet de pipeline de 1825 km de long, pouvant acheminer 570000 barils de pétrole brut par jour pour un budget de 3,7 milliards de dollars, controversé quant à son impact social et environnemental catastrophique. En effet, ce pipeline entièrement enterré suit un tracé qui traverse la réserve indienne de Standing Rock et passe sous le lac Oahe, qui sert de source majeure pour la tribu Sioux de la réserve, et sous la rivière Missouri, accentuant ainsi les risques de fuites et de pollution majeure des eaux. [7]

Dès 2016, un campement représentant le chef-lieu de la sauvegarde du patrimoine culturel sioux s’organise à Standing Rock en protestation contre ce projet d’oléoduc, et bénéficie d’un soutien populaire qui fait augmenter le nombre de campeurs à plusieurs milliers de personnes dès l’été. Soldats et policiers armés répriment violemment les manifestations (grenades à concussion, gaz lacrymogènes…), ce qui alerte l’attention internationale. [8] [9]

Le destin du projet est intimement lié à la politique environnementale américaine et suit ses fluctuations au gré des jeux de pouvoir en place. Après une suspension du projet pour l’étude de l’impact environnemental par le Corps des Ingénieurs de l’Armée des États-Unis (US Army Corps of Engineers) sous Obama, Trump signe un décret afin de relancer le projet en 2016. Malgré une vague de protestations et un passage devant le juge fédéral, le jugement est exprimé en faveur de la continuation de la construction. [10]

Et depuis ? Près de 3 ans après l’entrée en service de l’oléoduc, le permis d’exploiter le pipeline a été remis en question par le juge fédéral le 25 mars 2020. En effet, avant sa construction, le Corps des Ingénieurs de l’Armée des Etats-Unis avait conclu à l’absence d’impacts significatifs sans réaliser d’évaluation environnementale sur l’ensemble du tracé. [11] Cependant et contre l’avis du juge, le pipeline est maintenu en fonctionnement jusqu’au rendu de cette évaluation environnementale, prévue pour Mars 2022, qui sanctionnera définitivement le maintien en activité du pipeline ou l’abandon de ce projet. [12]

En 2021, Joe Biden a décidé de mettre un terme définitif à Keystone XL, un autre mégaprojet d’oléoduc destiné à acheminer du pétrole en provenance des sables bitumineux de l’Alberta, dans l’Ouest du Canada, vers les raffineries du Golfe du Mexique. [13]

Le Dakota Access Pipeline aura-t-il droit à la même sentence ?

 

Architects mélangent hardcore, véganisme et responsabilité sociétale

Un engagement complet

Impossible de parler d’activisme environnemental sans citer Architects, groupe britannique fondé en 2004. Les membres du groupe sont en effet végan depuis 2012 [14] . Le straight edge est une sous-culture du hardcore dont les adeptes ne consomment ni alcool, ni tabac ou autres substances récréatives, et sont bien souvent vegan. Le groupe tient également à utiliser des productions durables même au niveau de ses propres produits. [15]

Ceci n’est pas rare dans la scène hardcore : on peut par exemple citer la Hardcore Help Foundation, association à but non lucratif allemande qui œuvre notamment pour l’éducation ou l’accès à l’eau potable dans les pays défavorisés. Cette association collecte du merchandising donné par des groupes qui la soutiennent, comme Architects, pour le revendre et ainsi collecter des fonds.

Sensibiliser lors des concerts

Le frontman d’Architects, Sam Carter, est un ambassadeur de l’ONG de défense des océans Sea Shepherd, et l’association est représentée sur des stands de merchandising par exemple lors de leur passage à Strasbourg sur leur tournée de 2017.

Architects n’hésitent pas à adresser des thématiques diverses lors de leurs concerts et sensibilisent notamment leur public sur l’importance d’ouvrir le discours et de demander de l’aide lorsqu’il s’agit de santé mentale, en particulier suite au décès de Tom Searle, fondateur et compositeur principal du groupe en 2016.

Questionner l’avenir des générations futures et de notre planète

La cause humaine au sens large a toujours fait partie des préoccupations d’Architects et la cause environnementale en particulier est spécialement mise en lumière sur leur neuvième album intitulé For Those That Wish To Exist, sorti en 2021. Cet album aurait dû être enregistré en Australie, mais les violents incendies qui ont ravagé le pays ont contraint le groupe à finaliser les prises en Angleterre. [16] Dan Searle, batteur et principal compositeur du groupe, résume le sentiment de cet album par un mot : désespoir. Effectivement, les 15 titres qui composent ce disque sont le reflet de la condition humaine et amènent l’auditeur à osciller entre un constat accablant, paralysant et l’envie de faire bouger les lignes avant qu’il ne soit trop tard. Mais plutôt que de pointer du doigt l’autre, le système politique, et se morfondre dans l’apathie de l’indifférence sociétale, Architects nous invite à l’introspection et à se demander ce que chacun peut faire, à son niveau : « Cet album, c’est moi en train de regarder notre incapacité à changer pour un mode de vie qui soutiendrait la race humaine et sauverait la planète », résume Dan Searle. [17]

Le titre « Black Lungs » illustre parfaitement ces contradictions en alternant entre des images du groupe et d’une famille jouant sous des cendres qui les recouvrent peu à peu, questionnant l’avenir de la génération à venir et de notre planète :

 

 

“You wanna make your hell a reality?
Black lungs for the young if they dare to breathe
There’s no doubt that the end is coming
You’re gonna taste the ash
You’re gonna taste the dust
‘Cause this world is dying in our arms”

 

S’en suit un bruit d’alarme militaire lancinant sur le titre Animals qui rappelle non sans mal une situation de couvre-feu ou l’illustration de l’urgence actuelle…

Dan Searle continue : « Je voulais me regarder dans un miroir et me poser la question de ce qu’il fallait faire, plutôt que d’essayer de pointer du doigt les politiciens. Le changement doit commencer à un niveau personnel. Le monde a développé une culture de vouloir que quelqu’un d’autre s’occupe de cela, alors que nous devons prendre nos propres responsabilités. Il faut que ça commence par là. » [17]

 

Le mot de la fin ?

Loin des préjugés de gothiques satanistes jouant dans une cave sombre, Gojira, Fit For An Autopsy, Architects et beaucoup d’autres utilisent leur exposition et la scène pour faire passer des messages forts de responsabilité sociétale et environnementale. La musique metal nous appelle à l’introspection, à faire face à nos démons pour mieux les combattre. Malgré des sonorités et thématiques sombres, reflets de la société dans laquelle nous vivons, ce genre musical attise la lueur d’espoir en chacun de nous et appelle à se battre tant qu’il en est encore temps pour faire de demain un monde meilleur. Car à quoi ressemblera le monde de demain si nous ne faisons rien ? Disturbed, groupe américain fondé en 1994, y répondent dans leur clip Another Way To Die en 2010, mettant en parallèle des images de nos problématiques actuelles et leur impact dans un futur apocalyptique hypothétique… Hypothétique ? Peut-être pas tant que cela.

Quelques groupes complémentaires à découvrir :

  • System Of A Down (Californie – fondé en 1994): après 15 ans de silence, le groupe revient sur le devant de la scène en 2021 avec 2 nouveaux titres dont « Genocidal Humanoïdz » et « Protect the Land » pour lever des fonds afin de soutenir les populations civiles arméniennes victimes du conflit militaire dans la région du Haut-Karabagh [18] . Serj Tankian, chanteur de System Of A Down, fait un tour d’horizon de l’impact des activités humaines sur la chanson au nom évocateur de Harakiri sur l’album éponyme en 2012.
  • Cattle Decapitation (Californie – fondé en 1996) : ses membres sont tous végétariens et manifestent comme le nom du groupe l’illustre contre la maltraitance animale mais dénoncent également le drame écologique en cours. Le groupe assume une charte graphique violente, gore et dérangeante pour illustrer l’horreur du changement climatique et des effets de la mondialisation.
  • Rage Against The Machine (Californie – fondé en 1990) est un groupe protestataire incontournable, connu pour ses revendications et prises de position politique contre le racisme, le capitalisme et la mondialisation. « Killing in the Name », sortie en 1992, dénonce le racisme et les violences policières suite aux émeutes de Los Angeles qui ont suivi l’acquittement de quatre policiers blancs dans l’arrestation brutale de Rodney King, activiste afro-américain, bien que la scène eût été filmée par des caméras de surveillance. [19] Sur ces mêmes thématiques, voir également Stick To Your Guns, Stray From The Path, Anti-Flag et toute la culture punk et hardcore.
  • Article Greenpeace “10 Essential Environmental Songs for the Metalhead in All of Us”

 

 

Références

[1] MYGUITARE. « L’histoire du heavy metal » [en ligne] (page consultée le 10/07/2021)
https://blog.myguitare.com/metal/histoire-heavy-metal

[2] KONBINI. « Gojira : “Finalement ça se marie bien, le metal et l’écologie” » [en ligne] (page consultée le 15/07/2021)
https://www.konbini.com/fr/musique/interview-gojira

[2] GOJIRA MUSIC. « Activism » [en ligne] (page consultée le 18/07/2021)
https://www.gojira-music.com/activism

[4] SEA SHEPHERD FRANCE. [en ligne] (page consultée le 18/07/2021) https://www.facebook.com/SeaShepherdFrance/posts/212407068826732/

[5] ROLLINGSTONE. « Gojira Share ‘Another World,’ First New Song in Four Years » [en ligne] (page consultée le 15/07/2021)
https://www.rollingstone.com/music/music-news/gojira-another-world-new-song-1039656/

[6] RTBF. « Gojira, du metal hurlant et conscient pour sauver la planète » [en ligne] (page consultée le 15/07/2021)
https://www.rtbf.be/culture/musique/pop-rock/detail_gojira-du-metal-hurlant-et-conscient-pour-sauver-la-planete?id=10750782

[7] WIKIPEDIA. « Dakota Access Pipeline » [en ligne] (page consultée le 16/07/2021) https://fr.wikipedia.org/wiki/Dakota_Access_Pipeline

[8] LE MONDE. « Incidents autour d’un oléoduc dans le Dakota du Nord » [en ligne] (page consultée le 16/07/2021)
https://www.lemonde.fr/planete/article/2016/10/28/incidents-autour-d-un-oleoduc-dans-le-dakota-du-nord_5021826_3244.html

[9] LIBERATION. « Dans le Dakota, le mouvement antipipeline violemment réprimé » [en ligne] (page consultée le 16/07/2021)
https://www.liberation.fr/planete/2016/11/03/dans-le-dakota-le-mouvement-antipipeline-violemment-reprime_1525924/

[10] TV5MONDE. « Etats-Unis : Donald Trump relance les oléoducs Keystone et Dakota Access » [en ligne] (page consultée le 18/07/2021)
https://information.tv5monde.com/info/etats-unis-donald-trump-relance-les-oleoducs-keystone-et-dakota-access-150818

[11] THE SEATTLE TIMES. « Live updates from Dakota Access Pipeline protests: ‘It will be a battle here’» [en ligne] (consultée le 18/07/2021)
https://www.seattletimes.com/seattle-news/environment/live-updates-from-dakota-access-pipeline-protests-day-1/

[12] CNN. « Judge allows Dakota Access pipeline to continue operating during environmental review » [en ligne] (page consultée le 16/07/2021)
https://edition.cnn.com/2021/05/21/politics/dakota-access-pipeline-continue-operation/index.html

[13] LE FIGARO. «Keystone XL : quel est ce projet d’oléoduc définitivement enterré par Biden ? » [en ligne] (page consultée le 18/07/2021)
https://www.lefigaro.fr/conjoncture/keystone-xl-quel-est-ce-projet-d-oleoduc-que-biden-veut-enterrer-20210118

[14] ROOMTHIRTEEN. « Architects Interview » [en ligne] (page consultée le 15/07/2021)
http://www.roomthirteen.com/features/985/Architects_Interview.html

[15] GIGWISE. « Black Lungs: Architects on metalcore with a conscience + taking on climate change » [en ligne] (page consultée le 15/07/2021) https://www.gigwise.com/features/3396473/black-lungs–architects-on-metalcore-with-a-conscience—taking-on-climate-change-interview

[16] NME. «Architects: “People will recoil in horror at this record – and then find they actually like it”» [en ligne] (page consultée le 18/07/2021)  https://www.nme.com/features/architects-new-album-for-those-that-wish-to-exist-2886141

[17] HARDFORCE. « ARCHITECTS: “Black Lungs”, 2e extrait du prochain album» https://hardforce.com/actu/34862/architects-black-lungs-single-nouvel-album

[18] FRANCE INFO. « Haut-Karabakh : le groupe de rock System of a Down sort deux titres inédits pour soutenir les populations arméniennes touchées par le conflit en Artsakh » [en ligne] (page consultée le 18/07/2021) https://www.francetvinfo.fr/culture/musique/rock/haut-karabakh-le-groupe-de-rock-system-of-a-down-sort-deux-titres-inedits-pour-soutenir-les-populations-armeniennes-touchees-par-le-conflit-en-artsakh_4171163.html

[19] LA PROVENCE. «Un jour, un titre : “Killing in The Name”, cri de rage contre le racisme » [en ligne] (consultée le 18/07/2021) https://www.laprovence.com/actu/en-direct/6191704/un-jour-un-titre-killing-in-the-name-cri-de-rage-contre-le-racisme.html

 

One thought on “Quand metal rime avec combat environnemental. Cris d’alerte et décibels pour la planète

  1. Gojira est le gros le plus emetteur de co2 de l histoire de France. Ils représentent des dizaines de milliers de tonnes de CO2 sur leur carriere, et en s associant avec plein d autres groupes encore plus polluant (metallica tournant en jet privee depuis des annees) lance l opération ‘Amazonia » c est a dire qu un « gros amas de groupes » de pesant des dizaines de milliers de tonnes de CO2 demandent au public de payer 15huttes en bois au bresil. Quelques par pour se donner une image et en faire un buisness. Vous pensez que ca ca aide la biodiversité ? Ils sont signés chez Roadrunner, qui n a qu un but faire de l argent en faisant tourner des groupes de part le monde. Ecologiquement Si vous voyez tout ces noms Gojira, Metallica, Roadrunner. Fuyez… Revoltez vous contre ce type de demarche !

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